mercredi 26 mars 2008

que s'est-il dit samedi dernier à la réunion ?


Cette réunion était aussi, bien sûr, l'occasion de boire un dernier petit café avec Maggy qui quitte Meyreuil à la fin du mois. Nous avons eu le plaisir de voir sa fille, tant pis pour ceux qui n'était pas là !!!

Parlons à présent de notre ordre du jour, voici les différents sujets abordés :

- Les classes de CE1 et CM1 ont demandé à l'Association des Parents d'Elèves de Meyreuil si nous pouvions participer financièrement à la prochaine sortie mer. Une aide de 150 euros leur sera accordée.

- L'APEM espère être présent comme l'an passé au barbecue de la fête de la musique le 21 juin. Nous attendons confirmation de l'association Chant Libre.

- Des parents s'inquiètent de l'équilibre des repas servis à la cantine de l'école primaire. La multiplication des produits transformés et préfrits est en complète contradiction avec le PNNS http://www.mangerbouger.fr/pnns/repere/repere.php
Les menus sont répétitifs et bien souvent complètement déséquilibrés. Ce problème n'est pas nouveau mais les saisons passent et rien ne change ...

L'APEM souhaite organiser le 7 juin un "bal des pré-ados" qui sera destiné aux CE2, CM1, CM2 et leurs grands frères et grandes soeurs. Nous nous sommes rendu compte que beaucoup de manifestations de l'APEM s'adressaient aux plus petits, ce manque sera bientôt réparé avec une soirée spécialement créée pour nos "grands" :

7 juin SPECIAL FIN D'ANNEE
bal des CE2 - CM1 - CM2 + les grands frères et les grandes soeurs du collège
SUPER DANCE PARTY
DJ et AMBIANCE TECKTONIK
de 18h30 à 22h30


nous aurons l'occasion d'en reparler en temps voulu. En attendant, voici de quoi vous entrainer !


mardi 18 mars 2008

Prochaine Réunion

Ce samedi 22 mars, à 10 heure se tiendra, la réunion de l'association au centre administratif du Plan de Meyreuil.
Il sera question des prochaines manifestations prévues au cours du mois de juin, fête de la musique et boum des pré-ado.
A cette occasion, nous fêterons la naissance de la fille de Maggy, pour qui ce sera la dernière réunion au sein de l'association.

vendredi 14 mars 2008

l'appel de jack lang et luc ferry à xavier darcos

Les nouveaux programmes suscitent la polémique. Deux anciens ministres de l'éducation nationale expriment leurs craintes aujourd'hui dans un article commun du Nouvel Observateur.

Ci-après, la copie de l'article. C'est un peu long, ils sont bavards, mais si l'on passe sur les petits règlements de compte et si vous avez fait "politique" en seconde langue au lycée, pas mal de choses intéressantes sont dites. Essayez de prendre le temps de le lire. On peut en parler, n'hésitez pas à laisser un message dans les commentaires ou dans notre forum.



Les débats de l'Obs
Non aux nouveaux programmes de l'école primaire !


Deux anciens ministres de l'Education nationale, dans des gouvernements de droite et de gauche, lancent un appel à Xavier Darcos pour qu'il renonce au «populisme scolaire» Par Luc Ferry et Jack Lang


D'aucuns seront sans doute fort surpris de trouver nos deux noms réunis au bas d'un même appel. En dépit de tout ce qui oppose nos choix politiques et philosophiques, nous avons pourtant les mêmes raisons de penser que les «nouveaux programmes de l'école primaire», rendus publics à la fin du mois de février, risquent de nuire gravement à la santé (déjà bien fragilisée) de notre système éducatif : l'avenir de nos enfants vaut bien une trêve dans nos querelles partisanes. Les parents ne doivent pas être abusés par les promesses d'un «retour aux fondamentaux» et d'une exigence accrue, auxquelles nous adhérons tous : car, sous ces slogans séduisants mais vagues, c'est exactement l'inverse que le ministère de l'Education nationale nous propose aujourd'hui.

On nous annonce des programmes «plus ambitieux», mais, sur l'essentiel, notamment la lecture, l'écriture, l'expression orale, on en rabat comme jamais sur le niveau visé. En fin de CM2, on se contente désormais d'attendre d'un élève qu'il soit capable d'«orthographier un texte simple de dix lignes lors de sa rédaction ou de sa dictée» alors que les programmes de 2002 demandaient qu'il sache rédiger un «récit» au moins deux fois plus long, mais aussi «noter des informations», «rédiger une courte synthèse» des leçons, en respectant, outre les règles d'orthographe et de syntaxe, des critères de clarté et de cohérence du propos. Soyons clairs : savoir tout juste écrire dix lignes sous la dictée ne suffit pas pour suivre une classe de 6e ! Plus grave encore, si possible : malgré les affirmations qui figurent dans la présentation des programmes, les horaires de français ne sont nullement augmentés, mais considérablement réduits par rapport à ceux de 2002 ! En 2002, le programme de français comportait obligatoirement et au minimum deux heures de lecture et d'écriture quotidiennes, auxquelles s'ajoutait le temps consacré à l'expression orale et à l'étude de la langue (grammaire, conjugaison, vocabulaire) . Soit treize heures. Il n'en reste plus que dix aujourd'hui ! Du reste, comment Xavier Darcos peut-il prétendre sans sourciller diminuer tout à la fois l'horaire hebdomadaire global (qui passe de 26 à 24 heures en raison de la suppression des heures du samedi matin), augmenter les horaires de sport et de maths, créer une discipline nouvelle (l'histoire de l'art) et, malgré cela, augmenter l'horaire de français ? Disons-le posément mais fermement : il s'agit d'un mensonge.

Paresse intellectuelle
Sur bien d'autres sujets encore, les épaisses ficelles de la com en arrivent à éclipser totalement le fond des problèmes. Pour satisfaire à la démagogie ambiante, on affirme sans vergogne que «programmes courts = programmes centrés sur les fondamentaux», alors qu'il suffit de réfléchir trois minutes pour comprendre qu'à l'évidence c'est l'inverse qui est vrai : plus les programmes sont courts dans le texte officiel, plus ils sont lourds dans la classe. Si vous mettez «la Révolution française» sans autre précision au programme, il est, au sens propre, sans limite. Un bon programme, c'est d'abord un programme qui a le courage de faire des choix et de les expliciter, ce qui suppose un peu d'espace. La première condition de l'efficacité des apprentissages, c'est leur continuité, leur cohérence, d'un jour à l'autre, d'une classe à l'autre, d'un maître à l'autre. Et cela suppose un cadre commun suffisamment clair, qui ne prête pas à une infinité d'interprétations. Le contraire même de ce que l'on découvre ici, dans un texte qui expédie l'apprentissage de la lecture et de l'écriture au CP et au CEI en 15 lignes ! Et quelles lignes ! Jugez vous-mêmes : «Dès le cours préparatoire les élèves s'entraînent à déchiffrer et à écrire seuls les mots déjà connus. Cet entraînement conduit progressivement l'élève à lire de manière plus aisée et plus rapide.» C'est tout pour le CP ! Les nouveaux programmes se vantent avec arrogance d'avoir renoncé à expliciter et à choisir, de sorte que la paresse intellectuelle et le manque de courage se parent ici des dehors du gros bons sens pour lâcher la bride à toutes les lubies pédagogiques. Ce n'est pas non plus parce qu'on ajoute le mot «morale» pour bien donner le sentiment, pas même véridique, d'un «retour à» que l'on améliore en quoi que ce soit le contenu des enseignements. Pis encore, le programme de sciences a été littéralement laminé pour faire place à de bien vagues notions d'écologie...

Vide abyssal
Nous avions ensemble, l'un comme ministre, l'autre comme président du Conseil national des Programmes, piloté le vaste chantier de refonte des programmes de l'école primaire entre 2000 et 2002. Que ce travail puisse et doive être amélioré, nous sommes les premiers à en convenir. Mais qu'on le liquide purement et simplement pour le remplacer par un vide abyssal est proprement consternant. Malgré nos divergences de fond sur d'autres sujets, nous nous étions accordés sur l'idée que l'élaboration des programmes devait être désormais transparente et publique. C'est dans cette perspective que le soin de réfléchir aux contenus d'enseignement fut confié à un groupe de personnalités reconnues, présidé par Philippe Joutard, historien et ancien recteur estimé de tous. Nous voulions ensuite que ces programmes fussent réellement utiles, non seulement aux instituteurs chargés de les mettre en oeuvre, mais aussi - c'est peut-être leur principale fonction - aux auteurs de manuels scolaires pour lesquels ils constituent le cahier des charges. Jusqu'alors, les programmes de l'école se contentaient, comme celui qu'on nous propose à nouveau aujourd'hui, d'être un catalogue de voeux pieux, du genre : «Au CM2 l'enfant maîtrise les principales règles de l'expression écrite, il sait se comporter avec respect avec autrui...», et autres déclarations aussi péremptoires qu'inopérantes. A la place de ces injonctions creuses, nous souhaitions indiquer enfin des progressions concrètes, autant que possible précieuses pour les maîtres débutants, et rassurantes, car stables, pour les plus chevronnés. Disons-le franchement, c'était une petite révolution par rapport à la langue de bois «éducnat» jusqu'alors en vigueur. Tous deux préoccupés par la montée de l'illettrisme, nous étions soucieux que, par-delà la pluralité des méthodes de lecture (il y a des centaines de manuels différents sur le marché de l'édition scolaire !), les programmes fixent enfin un cadre commun, solide et intelligible par tous. Le groupe de Joutard avait fait sur ce point un travail réellement remarquable et innovant. Ce sont tous ces efforts qui risquent d'être anéantis aujourd'hui.

Imposture
Entre autres choix forts, nous avions limité volontairement le programme de grammaire à l'essentiel : en gros, les marques du pluriel («s» et «ent»), la conjugaison, les règles les plus utiles de l'orthographe, le bon usage des «mots de liaison» et quelques autres éléments de bon sens. En contrepartie de cet authentique travail de «réduction aux fondamentaux», nous avions imposé explicitement un temps quotidien incompressible de lecture et d'écriture de deux heures trente par jour aux CP et CE1 et de deux heures par jour du CE2 au CM2, parce que des enquêtes précises de l'inspection montraient que ce temps pouvait varier de 1 à 4 selon l'enseignant ! C'était là une décision aussi inédite que cruciale. Notre conviction était que seule la pratique assidue de l'écriture et de la lecture permet aux enfants de maîtriser la langue, les exercices abstraits d'analyse grammaticale devant être réservés au collège. Les nouveaux programmes menacent de détruire ces apports bénéfiques. La vérité est qu'ils s'en moquent parce que leur seule véritable visée est un affichage politique qui relève d'une catégorie relativement nouvelle : celle du «populisme scolaire», dont on pourra se faire une première idée au travers des quelques exemples que nous avons évoqués et de ceux qui vont suivre.
Comment croire, notamment, comme le prétend sans rire le dossier de presse présentant les nouveaux textes, qu'une réforme des programmes et des horaires, quelle qu'elle soit, puisse, à elle seule, permettre de «diviser par trois en cinq ans le nombre d'élèves qui sortent de l'école primaire avec de graves difficultés» ? Même s'ils étaient sublimes, infiniment supérieurs à ceux de 2002 - ce qui est tout l'inverse -, une telle affirmation relèverait de l'illusionnisme. Il n'est pas un spécialiste du système scolaire pour y croire une seconde tant il est évident que l'échec scolaire relève de bien d'autres paramètres. Un bon programme n'est jamais la condition suffisante du succès : au mieux, et c'est déjà beaucoup, il favorise la réussite du plus grand nombre, quand un mauvais le handicape sévèrement. En revanche, l'opération politicienne est transparente : elle consiste à faire croire à un public ignorant des textes en vigueur, mais qu'une sourde angoisse associée au sentiment diffus que «tout fout le camp» prédispose à avaler la couleuvre, que les programmes élaborés en 2002 étaient «modernistes», écrits dans un jargon incompréhensible, bref, «soixante-huitards» (ce qui pour l'un d'entre nous au moins est un comble !), et qu'il est temps de restaurer les bonnes vieilles recettes du temps de nos aïeux. Succès garanti dans les chaumières. Si c'était vrai, nous signerions peut-être des deux mains (encore que l'idéalisation du passé ne soit jamais un guide sûr), mais c'est en l'occurrence une imposture. On laisse entendre, par exemple, que les actuels programmes d'histoire sont non chronologiques ou qu'ils ne comportent aucune référence aux personnages et aux événements concrets, que la grammaire à l'ancienne, comme on dit des confitures, n'est plus enseignée, qu'on ne fait plus de dictées, de rédactions ni de récitations, etc., mais tout cela est faux, archifaux. Cela fait belle lurette - depuis Chevènement, à vrai dire que l'enseignement de l'histoire est redevenu chronologique et, dans nos documents d'application de 2002, on trouve toutes les références précises aux dates, événements et personnages principaux.

Reniement
On dit encore, comme l'a fait d'ailleurs à juste titre le président de la République, que c'est désormais la nation tout entière qui doit s'intéresser aux contenus d'enseignement et qu'il ne faut plus les réserver à d'obscurs experts au jargon digne des médecins de Molière. Mais de nouveau la réalité est en contradiction radicale avec l'affichage démagogique. S'agissant des nouveaux programmes, nul ne parvient à savoir, pas même les anciens ministres de l'Education que nous sommes, comment et par qui ils ont été rédigés ! Et pour cause. Les groupes d'experts, présidés et composés par des personnalités identifiables et reconnues, ont disparu. Le Conseil national des Programmes a été supprimé, et l'Inspection générale elle-même n'a pas été saisie du dossier ! Est-il raisonnable de laisser de simples conseillers du ministère ou de l'Elysée élaborer dans l'opacité la plus totale des textes voués à régir l'école de la nation pour dix ans au moins et qui concernent des millions de familles et de citoyens ? Prenons un exemple tout à fait concret : dans les nouveaux programmes, décision a été prise sans aucune concertation de diminuer environ par trois le temps consacré à l'enseignement de l'histoire et de la géographie afin de faire plus de place au sport et aux mathématiques : ce choix lourd de menaces ne peut-il être discuté publiquement ? Tous les démocrates ne peuvent que rejeter cette méthode aberrante.
En 2004, Xavier Darcos, alors ministre délégué à l'Enseignement scolaire, publiait avec l'un d'entre nous les programmes élaborés sous l'égide de Jack Lang : belle preuve d'ouverture d'esprit et de continuité. Dans la préface, signée Ferry-Darcos, nous faisions l'éloge de ce travail et nous lui donnions notre imprimatur. Pourquoi ce reniement aujourd'hui sinon pour des motifs de pure communication, parce que le «look réac» plaît, hors de toute réflexion, à un certain électorat. S'il suffisait d'être réactionnaire pour être génial, cela se saurait. Nous en appelons donc à l'honnêteté de Xavier Darcos et à son sens des responsabilités : il faut cesser de bouleverser sans cesse élèves, parents et professeurs à chaque changement de gouvernement ! Il faut au contraire préserver ce qui a été fait de bon par le passé, quelle qu'ait été la majorité de l'époque. Les professeurs ont plus qu'assez de ces changements aussi incessants qu'inutiles. S'il y a quelques points à modifier, qu'on les modifie en conservant l'essentiel, mais qu'on ne sacrifie pas l'intérêt des enfants et des professeurs à des motifs de pure tactique politicienne.


Luc Ferry

Philosophe et auteur de nombreux ouvrages, Luc Ferry a été ministre de la Jeunesse, de l'Education nationale et de la Recherche, de 2002 à 2004, du gouvernement Raffarin.


Jack Lang

Député socialiste du Pas-de-Calais, ancien ministre de la Culture, Jack Lang a été ministre de l'Education nationale, de 1992 à 1993, du gouvernement Bérégovoy et, de 2000 à 2002, du gouvernement Jospin.



Gilles Anquetil
Le Nouvel Observateur



Voici le lien vers l'article sur le site du Nouvel Obs :

http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p20080313/articles/a369288-.html



La présentation des nouveaux programmes du primaire. Discours de Xavier Darcos du 20 février 2008, sur le site de l'éducation nationale :

http://www.education.gouv.fr/cid21007/presentation-des-nouveaux-programmes-du-primaire.html

Vous pouvez donner votre avis sur le site de l'éducation nationale en cliquant sur "donnez-nous votre avis" dans la colonne de droite.



Toujours intéressant, le décriptage du "café pédagogique" :

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2008/03/14032008Accueil.aspx

mercredi 12 mars 2008

réunion samedi 22 mars

L'apem se réunira samedi 22 mars à 10 heures dans la salle habituelle du centre administratif du Plan de Meyreuil.

A cette occasion nous ferons un petit pot de départ pour Maggy et pour la naissance de Lune qui a pointée le bout de son nez le 19 février dernier.

Nous aborderons également les futurs événements organisés par l'apem : le "bal des pré-ados" et la "fête de la musique". Ces manifestations n'ont lieu qu'en juin mais avril passera vite avec les 2 semaines de vacances et idem pour le mois de mai et ses nombreux ponts.

Nous vous attendons nombreux samedi 22 mars à 10 heures.

jeudi 6 mars 2008

le compte-rendu du conseil d'école du primaire

Voici le compte-rendu de l'apem du conseil d'école du primaire qui s'est tenu vendredi 29 février.

Comme d'habitude, une copie sera distribué aux parents des enfants concernés.



L’APEM vous informe :
CONSEIL D’ECOLE DU PRIMAIRE DU 29 FEVRIER 2008



Personnes présentes :
- Mr Sabatier
- Les enseignants
- Mme Pitault et Mme Martini
- Les parents d’élèves


Ordre du jour du corps enseignant :

- Relations parents/enseignants :

Les enseignants ayant rencontré quelques différends avec des parents, nous demandent de transmettre leur écrit afin de retrouver un contexte calme dans l’intérêt de la scolarité de nos enfants.

« Les enseignants s’inquiètent du comportement incivique de certains parents, ces derniers temps. Pour conserver dans notre école un climat d’harmonie, paisible et propice au développement des enfants, l’équipe enseignante demande à tous de revenir à une relation sereine et réfléchie lors des relations et échanges entre l’école et les familles. »
L’équipe enseignante.


- Financement des cars :

Comme convenu, mise à disposition des cars par la mairie pour le projet mer et les autres sorties de fin d’année.


- Fléchage école :

Les personnes ne connaissant pas l’école ont du mal à s’y rendre. Il est demandé à ce qu’un fléchage soit installé aux entrées de la commune.


- Suppression du samedi matin :


A partir de la rentrée 2008, les enfants n’auront plus école le samedi matin. La durée hebdomadaire sera de 24 heures au lieu de 26 heures.
Les enfants en difficulté pourront bénéficier d’un soutien de 2 heures par semaine. L’équipe municipale et l’équipe enseignante se sont mis d’accord sur 30 minutes supplémentaires par jour.


- Soutien aux élèves en difficulté :

A compter des vacances de Pâques il sera proposé des stages de remise à niveau pour les classes de CM1 et CM2. Prochainement des évaluations vont être mises en place, en français et mathématiques. Il est prévu 15 heures de travail, réparti sur 5 journées, soit 3 heures par jour. Ces heures seront assurées par des enseignants volontaires. Après le stage, de nouvelles évaluations seront effectuées.


- Carnaval :

Cette année, il sera commun aux écoles maternelle et primaire. Il est fixé au vendredi 04 Avril et sera animé d’une fanfare. Thème libre.
Il est rappelé que les gâteaux préparés par les parents ne doivent pas être distribués aux enfants.


- Pont du jeudi 8 Mai au lundi 12 Mai inclus :

En contre-partie les enfants auront classe :
- Le mercredi 30 Avril toute la journée
- Le mercredi 07 Mai le matin.

Décision de Monsieur l’Inspecteur d’Académie.


- Peinture des classes :

Dans la bibliothèque, la peinture a été effectuée. Elle est prévue dans la salle des maîtres. Restera à peindre les classes de Mme Méric et de Melle Gay et revoir les couloirs de l’école sud pendant les vacances d’été.

- Bureaux :

A l’école du bas, l’achat de bureaux est prévu.




Pas d’ordre du jour de l’APEM.

Pas d’ordre du jour de l’APEEP.


Prochain conseil d’école le 30 Mai 2008. Si vous avez des questions à poser en conseil d’école par notre intermédiaire, vous pouvez nous contacter jusqu’à 15 jours avant la date à l’adresse e-mail apemeyreuil@gmail.com ou en laissant un commentaire sur le blog http:/apemeyreuil@blogspot.com


Autres informations :

La remise des livres est fixée au samedi 21 Juin. Pas de date avancée pour la journée portes-ouvertes.
Concernant la réforme du programme scolaire : voir pour plus de précisions, notre article du 20 Février 2008 sur le blog de notre association en cliquant sur ce lien :
http://apemeyreuil.blogspot.com/2008/02/la-rforme-des-programmes-scolaires.html